Salade de de fruits
Les psychologues sont des gens compétents (non ne rigolez pas, c’est après que c’est censé être drôle) et préoccupé par le devenir de leur prochain. Cependant, ils ne sont pas exhaustifs. En effet, s’ils s‘enquièrent du sort réservé aux loosers de la télé réalité, celui des malheureux perdants des jeux télévisés ne les intéressent pas.
Heureusement, LaPin TuEuR.cOm a mené l’enquête. Un dossier saisissant.
Odilon*, finaliste à Motus :
"Je revois sans cesse le moment où je sors la boule noire alors que nous avions 3 points d’avance. J’entends à chaque seconde de ma vie cette musique atroce et le rire de Thierry Becarrot. Ca été une véritable descente aux enfers : ma femme m’a quitté pour le sosie malien de Demis Roussos, mes enfants sont noirs et je suis devenu fan de Michel Sardou"
Pélagie et Barnard*, demi-finalistes aux Z’amours :
"La semaine dernière nous avons invité notre ami Crépin*, éleveur de chanteurs allemands, à dîner. Lorsqu’il a demandé où étaient les verres, Barnard a levé un panneau "Dans le tiroir de la commode grise" et moi "Dans le placard au dessus du chauffe-eau". Du coup on a du manger avec les doigts."
Fulbert, quart de finaliste à Pyramide
"Je fais souvent ce rêve étrange et pénétrant de Laurent Broomhead qui n’est jamais ni tout à fait le même ni tout à fait un autre, en 3"
Michel Aliot, huitième de finaliste des chiffres et des lettres :
"Il m’est impossible de regarder la météo de France 2 le matin, sans chercher un cinq lettres avec DARTY"
Paterne*, seizième de finaliste à Question pour un champion :
"J'ai la phobie des dictionnaires, dès que j’en vois un, il me pousse un troisième bras, en mousse, et tous les jours à 18h20, je dois aller dans une maison de retraite pour faire un sacrifice humain"
Thècle*, trente-deuxième de finaliste, la roue de la fortune :
"Depuis que je rentre tous les soirs en pensant à la blonde à gros seins qui était à côté du chien moche, ma femme a constamment des migraines. Du coup je dois me satisfaire seul."
Venceslas*, soixante-quatrième de finaliste d’Attention à la marche :
"Il y a quelques mois, un ami m’a dit "Attention à la marche" en sortant du bus. Je n’ai pas pu me contrôler et je lui ai refait le nez, maintenant il a le même que Jean-Luc Reichman"
Athénogène*, division d'honneur du juste prix :
"Lorsque je ne parviens pas à déterminer le montant exact de mon chariot à Franprix, je me mets à chanter "Cuitas les patatas", en me scarifiant"
* oui, le calendrier cache des trésors de prénoms
La semaine prochaine, toute la vérité sur la fabrication d’Harry Roselmak à partir d’huile de foie de morue.
Je vous souhaite l’oscar du prénom polonais le plus funky après celui de Lech Walesa.
Ce blog entre dans une longue période de deuil suite à la mort de Carlos. D'où le fond noir.